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La bonne année !

Ma chère amie,

Croyez-le, j’ai quitté avec joie décembre et ses agapes pour entrer sans élan dans janvier et son cortège de fâcheux qui viennent présenter des vœux de convenance. Mon hôtel ne désemplit pas et j’ai la plus grande peine à trouver le calme pour vous écrire. Du plus loin que remonte ma mémoire, je n’ai jamais goûté cette période de l’année et avec l’âge je supporte de moins en moins l’hypocrisie qui règne en ces heures. Souhaiter, avec la mine qu’il sied, une bonne santé à une vieille tante dont on attend le trépas comme le second avènement du Christ est un exercice périlleux et fort peu chrétien finalement. Et que dire de mon banquier pour lequel je formule les vœux d’une fortune qu’il fera grâce aux intérêts de mes dettes !

Ah ! mon amie, à vous je peux bien le dire, je rêve parfois de quitter le corset de cette éducation policée pour dire à tous ces gens le fond de mes mauvaises pensées. A cette vieille tante, je dirais alors : "Mais mourez donc Madame, et que m’importe la manière, la chose sera encore trop douce à l’aune de tout ce que vous nous avez fait endurer enfants !" Quant à mon banquier, je lui dirais ceci : "Enrichissez-vous Monsieur, dépouillez-moi! Même pauvre, nue et sans atours, j'aurai plus de dignité que vous n'en aurez jamais avec tout votre or tant vous êtes méprisable !" Au lieu de cela me voici toute en révérences et courbettes, faisant mille grâces, servant mes meilleurs vins au financier et proposant les services de mon médecin à la vieille bique.

Vous pouvez rire de moi mon amie, car je le mérite. Aussi, je recommande mon âme à vos prières, car les sentiments qui m’animent sont fort éloignés de ceux que prône notre Eglise. Imaginez un peu à quelle absurdité je suis contrainte : je vais devoir aggraver ma dette pour emprunter de quoi acheter quelques indulgences. C’est qu’il m’en faudra et des plénières encore pour me faire pardonner le mauvais esprit que je nourris contre mon banquier ! La corne d’abondance au service du tonneau des Danaïdes en quelque sorte ; le cocasse de la situation m’étouffe presque. Mais voilà que j’entends l’Abbé qui s’en vient ; je l’ai convié à souper pour causer de nos affaires. Je vous laisse et vous renouvelle tous mes vœux pour la nouvelle année.


Votre infernale et toujours facétieuse FE

Tous droits réservés, reproduction interdite

 

Commentaires

  • Ah, vous êtes de retour, baronne, enfin !, oserais-je dire, si j'ignorais que votre Uhlan veille jalousement presque nuit et jour sur votre temple.

    Je suis curieux de savoir si le polisson qui zieutait à travers vos jupons de gaze va revenir lui aussi vous tourmenter ou s'il vous a oubliée…

  • C'est encore moi. Savez-vous qu'un esprit mal tourné comme le mien pourrait voir dans votre peinture préraphaélite un symbole troublant.

  • Tiens, les commentaires de Madame de *** sont ouverts. Excellente nouvelle !

    Quelle charge, si j'ose me permettre ?

  • Enfin Sébastien, vous postez des commentaires sans lire ce qui les précède ? Ca m'étonnerait fort, vous devez juste un peu étourdi aujourd'hui... Relisez la lettre !

    Chargez souvent mon amie, chargez toujours !

  • Pardon, je suis distrait.

  • Girodet ? Vous n'êtes pas allé voir l'expo Girodet par-dessus le marché, Uhlan ? David tant que vous y êtes ! Toutefois, si vous ne pouvez pas vous empêcher d'aller à Jacquemard André pour tenter d'éblouir quelque jeune pépé avec votre Kultur, embrassez Mme de St-Fargeau pour moi, s'il-vous-plaît.

  • Hélas ma chère tout cela ne date pas d'hier, quand je pense à Clovis qui s'empressa d'ébrécher le droit royal pour satisfaire les goûts de luxe du haut clergé, je ne peux m'empêcher de croire que la véritable hérésie se tenait au nord de la Loire. Ha! si notre bon roi Alderic l'avait emporté alors vous n'auriez aucun besoin de ces indulgences et pourriez utiliser cet argent de façon plus chrétienne il me semble en donnant aux pauvres plutôt que d'enrichir ces insatiables usuriers du corps et de l'âme que sont les banquiers et les prélats... (Luc 21) Bien à vous.

  • Sincèrement, je n'avais pas remarqué ces fautes, chère Madame de ***. Si cela vous intéresse, je reconnais faire de nombreuses fautes, à cause d'une étourderie naturelle dont je n'ai jamais pu me débarrasser depuis l'enfance.

    J'espère que votre strabisme n'est qu'orthographique.

  • Eh bien, mais par rapport à votre nuit de noce, je voulais dire…

  • Garenne, en dépit de son orthographe défaillante, Madame serait plutôt du genre à mettre noce au pluriel...

  • Votre père vous apprit-il aussi cette désuète chanson que j'adore, qui s'appelle tout simplement "la mariée" ?

    Ah ah ah dit le trottoir (bis)
    Qu'est ce qui va se passer ce soir (bis)
    Qu'est ce qui va se passer ce soir, dis la mariée
    Qu'est ce qui va se passer ce soir, dis le trottoir

    ... l'escalier
    C'est moi qu'on monte en premier

    ... la serrure
    J'ai jamais rien vu d'si dur

    ... le corridor
    C'est moi qu'on enfile d'abord

    ... le bois du lit
    Ca grince et puis ca gémit

    ... le drap du d'sus
    C'est moi qui prend les coups d'culs

    ... le draps du d'sous
    C'est moi qui prend tous les coups

    ... l'édredon
    C'est moi qui vole au plafond

    ... la carpette
    C'est sur moi qu'on fait minette

    ... la pendule
    Ca avance et ça recule

    ... l'oeil de boeuf
    C'est moi qui voit l'69

    ... la bougie
    C'est fini pour aujourd'hui

    Quand nous nous reverrons je vous la chanterai, si vous me pardonnez cette gentille polissonerie. Avec la musique c'est beaucoup plus amusant.

  • Une dame a tant de charme quand elle défaille ! Et vous devriez vous souvenir que lorsque vous butâtes récemment, Madame eut le tact de vous retenir par la fourragère.

    Certes, nous devons l'invention de l'orthographe à quelque Uhlan noir de la République et non à un noceur !

  • Cela vous aurait-il échappé, Garenne ? La précision n'était pas qu'orthographique... Par parenthèse, l'orthographe existait bien avant les gueusards.

  • ... et pendant ce temps là à Véra Cruz ...

    ... Nadine nous chante des chansonnettes de corps de garde ou de salle de garde...

    Que (!) de garde (!)

    Ainsi que je le disais, l'année commence bien !

  • Oui mais Nadine, para bailar la Bamba se necesita....

  • Comment ça de salle de garde ?

  • Garenne, vous n'avez jamais fréquenté de carabins ? Leurs salles de garde sont connues pour les plaisanteries qui y sont faites ...

  • La fée Carabine, t'as vu sa bobine ?

  • Un régal cette chanson !

  • Voulez-vous retirer bien vite ce "s" à quatre, Madame la Marquise, avant que je ne me prenne encore un coup de pied de cul de la part de votre Uhlan (qui me fait de plus en plus penser au citoyen Robespierre avec sa petite vertu orthographique)…

  • emporté par son élan, il rajouta un "s"...
    doit on vraiment lui tenir rigueur de cet exces de générosité?

  • Atala ! Vous ici ! Je vous attendais mon amie et espère vous voir plus souvent !

    Garenne, le "s" n'est plus, le "s" est mort !

    Mais que font donc ces jeunes filles à part déverser ad vitam aeternam de l'eau dans un tonneau ?

  • Le lapin pense que ce n'est pas de l'eau mais de la cyprine. Le lapin a l'esprit mal placé.

  • Eh bien mais ces quatre sœurs sont punies pour avoir assassiné leurs maris pendant leurs nuits de noces ! Et moi, bêtement, j'y ai vu une allusion personnelle, je me suis dit que vous en aviez marre de votre mari ou quelque chose comme ça, voyez-vous…
    Vous devriez me consulter avant de choisir vos tableaux, Madame, ce serait un honneur pour moi.

  • Avec une épingle il me semble...

  • Le retour inatendu vous nous manquiez tres cher(e)...

  • Élémentaire mon cher lapin, a t on déjà vu un goupil en civet ?

  • Bis repetita placent ...

  • Mais encore Monsieur ?

  • Alban, je ne suis pas assez intelligente pour comprendre le pluriel ici, malgré une collection effarante de bas bleus.

  • Ah mais je ne me suis donc pas trompé ! Nadine ne sort jamais sans Madame ...

  • C'est, Madame, que je ne comprends pas votre question.

  • Ce M. de Bricole a le laconisme ennuyeux. Un comble.

  • Beati pauperes spiritu , Madame ?

  • Votre "bis repetita placent" me laissait, et me laisse encore, perplexe car sans aucun rapport avec les propos précédents...

    Sans doute n'était-ce là qu'une sorte de mouchoir que vous avez jeté ici pour nous mener chez vous...

  • Brave Sébastien, l'air du grand monde lui donne un peu d'esprit.

    Encore un effort et peut-être nous lirons-vous un jour ?

  • Vous vous comptez dans le grand monde Monsieur ?

  • Oh non, Madame, pour rien au monde ! Je pensais naïvement au petit troupeau de M. d'Albinos. Je sais que vous en êtes la grande mystique, comme madame Guyon fut celle de celui de M. de Fénelon.

  • Juste une précision pour ce petit maître de Garenne qui semble bouder dans son terrier, Madame, ce goupil là :
    http://expositions.bnf.fr/bestiaire/grand/f_01_bnf.htm

  • Je ne boude pas, Danielle, j'observe avec amusement la mouche tournoyer autour du coche de Madame.
    Je sens que Nadine n'est pas loin de deviner de quel petit tas de fumier asséché elle provient.

    Madame, je vous en débarrasserais volontiers - après tout je suis votre valet -, mais j'ai oublié ma tapette.

    Après tout dans toutes les cours, de récréation mais pas seulement, il y a ceux qui s'amusent, bien sûr, et toujours un qui tend la jambe sournoisement pour faire un croc-en-jambe.

  • Ah, quelle rouerie !

    Je compte néanmoins sur vos années, Madame, pour tout m'apprendre. D'ailleurs, ne suis-je pas invité à souper en votre compagnie ?

  • Ah là, vous commencez mal, Alban. Parler de ses années à une dame. Allons, allons... Rattrapez-nous cela.

  • Ah, ah, vous êtes assez drôle, Uhlan, avec votre « Vous commencez mal ». Lorsque ce moucheron vous aura bourdonné dans les oreilles pendant dix minutes, je vous garantis que vous changerez de ton. Surtout vous. Connaissant votre tempérament. Et votre humeur massacrante. Et votre habileté à l'épée. Et le fait que nous soyons deux. Et que je sois prêt à collaborer. Et que les mouches n'ont jamais brillé par leur courage.

  • Laissez Nadine, Madame, c'est une heure pour être heureuse. Nous testerons sa perspicacité une autre fois.

  • Oui, je le sais bien. Mais je subodore autre chose que vous ne subodorez pas. Forcément, vous n'êtes pas un lapin.

  • Reprenez-vous, Madame. Il est parfois des intentions qui sont mal exprimées...

  • La pièce n'est rien, Madame… Euh, j'écris moi-même de petites pièces parfois, sans intention maligne, mais là je crois qu'on a affaire à un sournois.

  • De rien Madame, la solidarité chez les brunes, ça compte pas pour des prunes! Musique :
    http://www.paroles.net/chansons/11854.htm

  • Franchement, sa raillerie tombe à plat. N'est pas Consanguin qui veut. Je suis d'avis qu'on lui ferme son clapet à ce malotru et qu'il aille bricoler ailleurs ses satires à la noix.

  • Vous êtes sensass, Danielle ! Et croyez-moi, je ne dis pas ce mot-là souvent !

  • Philaminte, au lit ! Et puis c'est la devinette de Madame. Vous aimez tant les devinettes, Madame ! De toutes façons, je suis momentanément empêché de vous joindre en aparté, et pas seulement pour ménager votre Uhlan, alors…

  • J'entends presque votre conciliabule…

  • Je suis revenue. Et je suis déçue, il ne s'est rien passé vraiment. J'attends la scène deux. Et je voudrais bien que l'on m'explique ce pluriel, à moins que l'on ait honte de n'être qu'un demi-habile en latin. Bien sûr personne ne sait tout, je suis moi-même très ignorante, mais quand on fait le malin en tripotant les vieux adages, il faut assurer, hein bonhomme.

    Vos sous-entendus sont fumeux : ce pluriel me chagrine toujours autant, d'autre part que laissez-vous entendre ? que je suis le faire-valoir de Madame de*** ? son autre voix ? mais fantasmez mon petit père, ça vous occupe.

    Je ne comprends pas que l'on perde son temps à détester les gens et à ricaner d'eux, surtout quand on n'est pas bête. Vous nous trouvez frivoles, pendant que le Christ est en croix jusqu'à la fin du monde et gnagnagni et gnagnagna ? eh bien que perdez-vous votre temps à nous montrer que nous perdons le nôtre ?

  • Ooups, j'ai la mémoire aussi courte qu'un lapin ! C'est incroyable le nombre de gaffe que je peux faire…

    Nadine ne peut être de toutes les assauts, Madame, nous devrons tous les deux nous passer d'elle…

  • Pouce ! Nadine, savez-vous à qui vous venez de me faire penser, à l'instant ?

  • Voyiez Garenne, j'appelle Nadine de mes voeux et pchitt , elle surgit !

    Incroyable !

  • Mais non, à qui ?

  • Ça m'épatait au début, quand vous faisiez sortir Nadine de votre chapeau, mais le tour est un peu éventé, maintenant, Madame la Baronne (d'Empire).

  • À Marine Le Pen, Nadine, quand elle s'adresse à Jean-Luc Mélanchon.

  • Ils leur fallait une vraie coupe , inestimable, merci Nadine. Musique :
    http://www.priceminister.com/offer/buy/146830/Pergolese-Giovanni-Battista-Stabat-Mater-Freni-Berganza-Orch-Scarlatti-De-Naples-CD-Album.html

  • Vous pensez que nous ne faisons qu'une ? mais vous rigolez ou quoi ? vous pensez vraiment que Madame de*** fait toutes ces fautes d'orthographe pour se donner des airs Ancien Régime différents des miens ?

    Je sais que vous vivez un peu à une autre époque mais on ne vous a jamais parlé de trucs modernes comme msn, tout ça ?

  • J'espère que pendant ce temps, le moucheron que vous savez, Nadine, boit notre sueur et s'en ira bientôt repu sur son petit tas de fumier.

  • Garenne, vous avez je pense les preuves techniques que Nadine et moi sommes deux ... un jour peut-être vous nous rencontrerez ... sait-on ce que réserve l'avenir et vous repenserez alors avec honte à vos allégations ...

  • Euh pour les fautes Nadine ...

    non, rien.

    [spa fairplay ma grande]

  • J'ai encore l'impression d'avoir des sabots de mille tonnes et de m'énerver sans avoir rien compris ( et Danielle ?!!), c'est rageant.

    Et je n'ai ni vu ni entendu Le Pen vs. Mélenchon ! faudra me rencarder (oups) ! je connais juste la chanson de Katerine.

  • Il m'a semblé, Nadine, que je n'étais pas le seul, parfois, à vous confondre avec Madame. Le Uhlan lui-même, parfois fait de ces gaffes !

  • Danielle, vous savez que vous êtes vraiment bath !

  • Pardon chère, mais c'est la seule "preuve" que j'aie trouvée, là, tout de suite. Je saurai me faire pardonner.

  • Je peux vous assurer (re fou rire) que le Uhlan nous distingue très bien !

  • ha ca...rien a craindre, l'une est frisée, l'autre pas

  • Garenne !!!!

    C'est moi où vous m'avez traitée baronne d'empire !

    Gare !

  • Un matin, ou était-ce une nuit ? un Uhlan un peu noir voulut baiser sa mie, mais c'était l'amie de sa mie.

    La récente preuve d'amour que vous m'avez donnée me suffit amplement, Nadine, n'en jettez-plus.

  • De baronne d'Empire ? C'était il y a longtemps, Madame, je n'avais pas encore approché vos nobles quartiers d'aussi près !

  • Je n'y comprends plus rien du tout du tout. Je vais dormir. Arrêtez de dire des bêtises.

  • Vous devez avoir un thème astral baléze Nadine à la hauteur, moi j'ai la croix cosmique matinée de Napoléon , pas tous les jours facile à porter mais efficace.....

  • Les preuves techniques ? Mais c'est que je suis un sensuel, moi, Madame, j'ai besoin de tâter. Approchez-vous un peu toutes les deux.

  • Tip-top, Danielle, ne changez surtout rien !

  • Je comprends goutte à ce dialogue. Je vous laisse et m'en vais l'esprit embrumé.

    Danielle, vous vous y connaissez en astrologie ? Je suis cancer ascendant capricorne. Un vrai cauchemar !

  • Il me faudrait plus de précision , mais il se fait tard je vous souhaite une douce nuit ma chère amie , en attendant voici ma carte pour vous faire une idée plus précise :
    http://www.astroo.com/theme_astral_gratuit_calcul.php

  • Merci Danielle mais vous savez, je vous demande cela, car l'astrologie a été, dans ma prime jeunesse, l'une de mes marottes. Je m'y connais un peu ...

  • Il suffit d'entrer les coordonnées spatio temporelles au moment de la première respiration (cri) : 02/08/1958 13H35 Carcassonne France.

  • Nous n'avons pas la même conception de l'amour, monsieur du lapin, on dirait bien. Je n'ai jamais aimé quelqu'un sans l'avoir vu. Mais je suis encore jeune (sans doute moins que les aigris qui ricanent ici autour, mais point trop vieille tout de même).

    Et si j'étais madame votre mère, je serais au désespoir de savoir votre muflerie. Se vanter de recevoir pareilles preuves ! Mais oui, vous êtes bon pour jouer dans Madame Bovary vous alors ! Quand me ferez-vous la grâce de m'inviter aux prochains comices agricoles ?

  • Ne vous fâchez pas, Nadine, il n'y a vraiment pas de quoi. Évidemment, je plaisantais !

  • "TOUTE RESSEMBLANCE AVEC DES PERSONNAGES OU DES SENTIMENTS DE LA VRAIE VIE NE SERAIT QU'UNE VUE ERRONÉE DE L'ESPRIT"

    Nadine, vraiment, je ne vois pas ce que je peux faire de plus.

  • Vraiment Garenne vous ne voyez pas ?

  • Je vois assez ce que je peux faire pour vous, en revanche, Madame, mais je préfère tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de l'approcher de votre petite oreille pour vous dire la solution de la devinette.

  • Meilleurs voeux d'une dame qui attend votre prochaine lettre avec impatience.

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